L’été dernier, j’ai arrêté mon abonnement Spotify parce que le combo mauvaise rémunération des artistes + investissements de facho c’était quand même un peu trop. Au final, je l’ai eu quand même pendant 8 ans, la vache ça passe vite. Pour la petite histoire, à cause de la gestion de merde de leurs abonnements famille on a même continué à payer 3 mois après avoir résilié mais même en passant une semaine en ligne avec leur service client ils n’auraient rien lâché. Bref, faute de successeur digne de ce nom me voilà revenue à l’ère pré-streaming. Et donc à encoder tous mes CD pour les mettre sur mon ordi et mon iPhone oui, ce qui n’est pas une mince affaire mais j’en reparlerai sûrement.
Les premiers CD que j’ai encodés sont ceux de Travis. Parce que toutes ces années où j’ai eu mon abo Spotify, ils leur a toujours manqué un des albums du groupe. D’abord Ode to J. Smith, puis The boy with no name. Même s’il y avait certainement des raisons très terre à terre à ça c’était vraiment pénible et il y a des fois où je voulais écouter un peu toute la disco du groupe en shuffle mais où je laissais tomber parce que l’idée que des chansons que j’aimais beaucoup manquent ça me saoulait trop. En tout cas le mode shuffle pas shuffle algorithme de merde de Spotify c’est pas un truc qui me manque c’est certain. Et la version gratuite est devenue complètement insupportable, bref. Revenons à nos Écossais.
J’ai découvert The boy with no name en redécouvrant Travis fin 2016 et il y a beaucoup de titres que j’adore dedans, y compris celui qui ouvre l’album. J’aime beaucoup la structure un peu évolutive de Mother, dès les arpèges de l’intro, et comme tant de chansons de Travis on a si vite l’impression de la connaître depuis toujours, même si on l’a découverte des années après sa sortie :).
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