Après avoir consacré des albums à Shiba Rikyû et à Hama Rikyû, voici venu le tour d’un autre des neuf jardins historiques gérés par le gouvernement métropolitain de Tokyo ! Après y être allée à la fin de l’hiver pour les fleurs de prunier et en automne pour les feuilles rougissantes, je suis retournée au Koishikawa Kôrakuen à la fin du printemps dernier. La lumière y était très belle pour les cerisiers tardifs et les reflets des arbres et des buildings dans l’eau.
Comme tous les jardins de la ville, le Kôrakuen est intéressant à chaque moment de l’année, et maintenant que j’ai pu y voir les pruniers très réputés il faudrait que j’y aille à l’époque de la glycine, qui a l’air aussi assez nombreuse. Colline boisée, pont de pierre, pavillons anciens, stèles, carpes et canards, silhouettes de verre des buildings… On est dans une dimension alternative ! ^^
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