Mardi 2 août au matin, au moment de quitter la résidence, j’ai le plaisir de trouver ma valise qui vient juste d’arriver de l’aéroport. Après un rapide retour dans la chambre pour la déposer, direction Tôkyô pour cette première vraie journée au Japon. Au programme, deux quartiers bien différents, qui nous ont permis de vérifier tout de suite la diversité et les contrastes de la plus grande ville du monde.
Parmi les nombreux quartiers de Tôkyô, Asakusa est un de ceux qui me disaient le plus et je n’ai pas été déçue. Après quelques détours par les nombreuses autres rues commerçantes couvertes du quartier, nous avons atterri dans Nakamise-dôri, l’allée commerçante qui va de la Kaminari-mon au Sensôji (qui a donc marqué le début d’une longue série d’observation et de visites de temples et de sanctuaires ^^).
Nous sommes aussi allées faire un tour du côté de la Sumida toute proche, où l’on peut trouve le si reconnaissable building d’Asahi. J’ai vraiment bien aimé l’ambiance du quartier, et comme je le raconterai dans mes prochains billets, j’ai eu l’occasion d’y retourner deux fois. J’avais vu pas mal de choses qui me plaisaient dès ce premier jour, mais évidemment il fallait pas faire cramer tous mes beaux billets de 10000 yen dès le début du voyage, alors évidemment je suis revenue plus tard quand j’ai vu que mes finances se portaient bien ^^.
Le soir, direction Shibuya pour une soirée franco-japonaise dans un resto du quartier où on nous a servi de l’alcool à volonté pendant deux heures ! De la bière bien fraîche après une journée très chaude, ça fait du bien ! Et j’adore aussi l’umeshu, ça se boit comme du petit lait ^^. A Shibuya, on a évidemment vu l’incontournable statue de Hachikô, tout près de l’imposant carrefour où les piétons déferlent dès que les feux sont verts, et qui est entouré d’immeubles qui s’illuminent dès que le soir tombent. Toute une ambiance, surtout aussi avec les nombreux écrans qui diffusent pubs et clips.
Evidemment il y a toujours beaucoup de monde, c’est comme ça partout dans la ville ou presque, mais bizarrement dès le début je ne me suis pas sentie bousculée ou oppressée comme je pense que je serais avec autant de monde en France. Ca doit être parce que c’est une situation normale pour les Japonais, et que leur degré de civisme plus élevé que le nôtre fait qu’on ne se bouscule pas. Enfin, j’aurai sûrement l’occasion d’en reparler de tout ça. Tout comme de la première d’une série de nombreuses visites dans les Book Off ^^.
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