Bla bla drama #19 : Bilan de l’opération pilotes de l’hiver 2/2

drama japonais hiver 2012

Après vous avoir livré mes impressions sur 7 premiers drama de la saison il y a près de deux semaines, il est temps de passer à la suite et à la fin de mon opération pilotes de l’hiver. On arrive quand même à la moitié de la saison ! Je n’ai pas pu à ce jour regarder les pilotes de deux drama que j’avais plus ou moins prévu d’essayer. Bien que des sous-titres aient été annoncés, ils ne sont pas encore disponibles. Il s’agit de Stepfather Step, que je n’avais pas retenu dans ma sélection initiale mais que je voulais tenter pour voir quand même ce que ça donnait, et de Unmei no hito, que j’espère pouvoir voir un jour car il me tente vraiment. Voici donc mes impressions sur les 7 derniers drama de la saison que j’ai testés :

Lucky 7

lucky seven

J’ai été agréablement surprise par ce premier épisode du drama vedette de Fuji TV. Le cast me semblait un peu improbable, même si le mot est peut-être un peu fort, mais en fait les personnages de MatsuJun et Eita, qui ne peuvent pas s’encadrer, sont vraiment sympa. Et Eita quand il se bat il est super crédible, vraiment classe. Les autres personnages de l’agence de détectives sont également sympathiques, comme je l’avais imaginé Matsuhsima Nanako est un peu en retrait. On dirait qu’on va avoir le droit à un peu plus que la recette une affaire par épisode, et ça devrait être bien sympa à suivre.

 

Hayami-san to yobareru hi

hayami san to yobareru hi

Un autre drama qui n’était pas dans ma sélection initiale et que j’ai voulu tester. Je ne sais pas trop quoi en penser. L’héroïne me plait bien, mais évidemment je ne peux pas comprendre pourquoi elle va vouloir aller faire la boniche dans une maison remplie d’hommes incapables de se démerder seuls. Mais bon, ça peut être intéressant de voir justement si elle va se laisser faire, et comment les événements autour de sa belle-famille vont tourner. Pour l’instant son mari est un peu trop mou pour moi, les frères n’ont pas trop su éveiller mon intérêt, et le père j’ai juste envie de lui mettre des claques. Je crois que j’aurai besoin de lire des avis une fois que le drama sera terminé pour savoir si je m’y remets.

 

Risou no musuko

risou no musuko

Je voulais regarder ce drama pour Suzuki Kyôka mais apparemment il n’a pas été fait pour ses fans mais pour ceux du petit Johnny’s Yamada Ryosuke. Je ne le connaissais pas, et c’est un peu dur de juger sur un épisode, mais c’est franchement pas une révélation. Et puis surtout, je n’accroche absolument pas à l’histoire. On nous ressort le coups des lycéens voyous qui traumatisent les bons petits élèves. Le synopsis ne le cachait pas du tout, au contraire, mais je ne pensais pas que ça allait se focaliser là-dessus à ce point. Je n’ai pas non plus aimé particulièrement la relation mère-fils, et il n’y a aucun autre élément pour rattraper tout ça. Donc ça sera sans moi.

 

Saigo kara nibanme no koi

saigo kara nibanme no koi

Pour l’instant ce drama est un de mes petits coups de coeur de la saison ! J’ai tout de suite apprécié l’ambiance de Kamakura, où l’histoire se déroule, et le voisinage de Chiaki (Koizumi Kyôko) avec Wahei (Nakai Kiichi) et sa famille assez particulière annonce plein de bonnes choses. Tous les acteurs m’ont convaincue, même Sakaguchi Kenji dont je n’étais pas particulièrement fan jusqu’ici. On sent que des thèmes sérieux vont être abordés, mais la comédie est aussi au rendez-vous, par exemple avec les échanges souvent explosifs entre les deux personnages principaux. J’ai aussi aimé la complicité de Chiaki avec ses deux amies, et les deux univers professionnels qu’on nous propose de découvrir : la réalisation de drama et la promotion du tourisme à l’hôtel de ville de Kamakura. Si tout continue aussi bien je vais me régaler dans les semaines à venir ^^.

 

Renai NEET

renai neet

Je ne sais vraiment pas quoi penser de ce drama. Je ne peux pas dire que le premier épisode ne m’a pas plu, mais il y a certains éléments auxquels je n’ai pas accroché. Le coup de la grande soeur qui se sacrifie pour élever les plus jeunes car les parents sont morts, ça sent déjà un peu le réchauffé. Et j’ai eu l’impression que c’était juste à cause de ça que l’héroïne n’était pas mariée et avait une vie sentimentale inexistante même si elle avait passé la date de péremption des 30 ans. Et puis j’ai eu un peu de mal à appréhender les personnages masculins, même si je retrouve avec plaisir Sasaki Kuranosuke et que Nagayama Kentô est très sympa aussi. Mais j’ai eu franchement du mal d’une part avec leur insistance à conquérir notre héroïne, et d’autre part avec le refus systématique de celle-ci. Pourtant, Nakama Yukie m’a fait bonne impression et je voudrais bien enfin la voir dans un vrai rôle. Peut-être plus tard !

 

Shokuzai

shokuzai

J’ai hésité à parler de ce drama, car on ne peut pas vraiment dire qu’il fasse partie de ma tournée de pilotes. En effet, vu qu’il ne fait que 5 épisodes et que le synopsis présageait du bon, j’avais décidé de le regarder entier, même si le premier épisode ne me convaincrait pas à 100 %. Hé ben en fait, il m’a convaincue à 150 %, minimum ! Je ne vais pas développer ici car de toute façon ça sera la première série de la saison à avoir son billet, mais l’ambiance du premier épisode m’a mis une bonne petite claque. Ca ne ressemble à rien de ce que j’ai vu jusqu’ici, c’est sombre et prenant, assez difficile à décrire. Regardez, plutôt ! ^^

 

Taira no Kiyomori

taira no kiyomori

Vu mon engouement pour Ryômaden que je regarde au compte-goutte, je n’ai pas pu résister et j’ai décidé de regarder le premier épisode du taiga de cette année dès que des sous-titres ont été annoncés (et j’espère que la traduction se poursuivra, à un rythme décent). Ce cru 2012 s’annonce moins facile à suivre que le cru 2010, et je pense que c’est principalement dû au fait que le 13ème siècle est moins abordable que le 19ème, pour moi du moins. La mise en scène dans ce premier épisode ne m’a pas toujours parue très claire, mais je me suis quand même prise au jeu et j’ai bien envie de connaître le destin de Taira no Kiyomori. Avec Ryômaden on assiste à la fin du bakufu, et avec Taira no Kiyomori à ses débuts plus de six siècles avant. De quoi me donner envie de me replonger dans des bouqins d’histoire du Japon ! J’hésite à continuer à suivre la série car cela siginifie s’embarquer pour une cinquantaine d’épisodes et on ne sait jamais ce qui peut se passer…

Et voilà ! Je suis donc officiellement 7 drama cet hiver, dont un qui est en fait déjà terminé. C’est déjà pas mal, mais à côté de ça il faut que je continue à regarder des drama plus anciens. Mon programme de ce côté sera l’objet du prochain bla bla drama ^^.

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