Si le thermomètre a encore un peu fait le yoyo, les températures d’hiver ont définitivement laissé la place à la douceur au mois de mars. Le mercure a commencé à plus monter dans la journée et à moins descendre dans la nuit. Je suis bien contente d’être arrivée à une des deux périodes de l’année où l’on peut laisser les fenêtres de la maison ouvertes pour profiter de l’air extérieur sans qu’il soit trop froid ou trop chaud. Fini le chauffage le matin dans le living ! On a eu un jour à presque 24 degrés l’après-midi, je me suis dit que c’était le moment de ranger les couettes d’hiver et mettre celles de demi-saison. Et en fait, il y a même une ou deux nuits où on a déjà laissé la fenêtre ouverte jusqu’au matin sans avoir froid ! La dernière dizaine du mois, la floraison des cerisiers a battu son plein et à l’heure où j’écris ces lignes, beaucoup de pétales sont tombés et les feuilles vert tendre commencent à prendre leur place sur les branches.
La première semaine de mars, l’autochtone a eu pour la première fois depuis longtemps. A distance bien sûr, et à un horaire correct vu que la formatrice était à Singapour (plus facile que quand il a eu des formations à l’heure californienne !). N’empêche que ça lui a fait des bonnes journées, qu’il a dû prendre ses déjeuners et dîners en décalé, qu’il n’a pas pu vraiment faire de sortie avec Messire ni aller le conduire ou le chercher au yochien. Heureusement que ça n’a pas duré trop longtemps ! La semaine suivante, c’était encore formation mais avec un volume horaire moindre donc c’était mieux. Heureusement car je me sentais de nouveau plus fatiguée même si le deuxième trimestre où on pète soit-disant la forme n’était pas terminé.
Sans surprise, ce n’est pas encore au mois de mars qu’on s’est beaucoup éloigné de la maison. et vu la tendance qu’a repris le corona au Japon à la fin du mois je crois que ça n’est pas près de nous arriver même si j’aimerais tellement qu’on puisse se faire au moins un weekend à Yatsugatake avant la saison des pluies. On s’est encore permis des repas au resto dans des endroits qu’on connait, où on sait qu’il y a de l’espace et de l’aération et où on va dès l’ouverture. Le premier samedi du mois, c’était nos huîtres frites préférées dans notre quartier. Le dimanche, pizza à emporter. Le deuxième samedi du mois, encore pas bougé de la maison. Le dimanche, on est allé en vélo jusqu’à Shakujii pour un déjeuner en terrasse et un petit passage à THE pâtisserie qui m’obsède depuis février parce que c’était le White Day et surtout ma fête. On a encore bien attend vu le monde qu’l y avait mais il y a quelques occasions comme ça où je sais être patiente :D.
Le troisième weekend s’est encore passé à vélo entre Shakujii et Ôizumi, on a testé un resto thai. Et puis on a mis en route un nouveau projet familial important qui va surtout occuper mes deux hommes pour l’instant : on a désormais notre propre potager, dans un jardin partagé géré par l’arrondissement voisin, à 1km environ de la maison. On ne peut pas choisir ce qu’on plante, donc pas de céleris raves, de fenouils ou d’artichauts pour moi pour l’instant, mais le gros point fort c’est qu’il y a plusieurs cours par mois pour apprendre à cultiver les légumes donc c’est vraiment très chouette. Le tout pour 50000 yens par an, et avec la majorité du matériel fourni ! J’ai déjà hâte de pouvoir cuisiner les légumes que Messire aura fait pousser avec son père :).
Au cours du mois, je suis retournée faire des courses à vélo à Tanashi, et comme l’autochtone pouvait sortir avec Messire on a fait une partie du trajet tous les trois jusqu’à ce qu’ils arrivent près du parc où ils allaient. Messire à vélo aussi, l’autochtone en courant ! On a fait ça aussi une ou deux fois en allant vers Ôizumi. C’est vraiment chouette de pouvoir passer un peu de temps tous les trois en journée même dans la semaine.
Le dernier vendredi du mois, j’ai eu un nouveau rendez-vous de suivi de grossesse à l’hôpital. Au départ ma sage-femme m’avait dit que c’est elle qui me ferait une visite à domicile mais en fait j’avais besoin de refaire une prise de sang pour vérifier l’absence d’anémie et de diabète gestationnel. Cette fois j’y suis allée seule vu que les accompagnants ne sont pas autorisés dans l’hôpital. Le trajet en train était bien sûr assez chiant, mais j’ai passé moins de temps que ce à quoi je m’attendais sur place. L’autochtone avait pu prendre une bonne partie de sa journée, il en a profité pour aller manger des sushi avec Messire qui était en vacances. Moi, je les attends bien mes sushi post-accouchement :D. Même si l’hôpital est dans un quartier du centre où je ne vais quasiment jamais d’habitude parce qu’il ne m’intéresse pas, c’était un petit événement de faire cette « sortie » et de voir des cerisiers en fleurs ailleurs que dans notre quartier ou ses environs immédiats. Puis comme j’ai pas de diabète et qu’on m’engueule pas pour ma prise de poids, je suis passée à une chouette boulangerie pour ramener un goûter :D.
Après ça, le dernier weekend du mois était déjà arrivé. Les hommes ont passé plusieurs heures au jardin le samedi, et le dimanche est arrivé notre achat le plus cher et le plus encombrant depuis la maison (enfin le plus cher même pas car si on compte toutes les clims ensemble y’en a eu pour plus cher :D) : une voiture, oui. J’y reviendrai sûrement en détail plus tard, c’était pas du tout mon rêve (je n’ai pas mon permis pour rappel ^^) mais vu le choix fait pour l’école primaire de Messire ça a fini par s’imposer donc on n’a pas attendu le dernier moment car oui, franchement, vu la situation sanitaire et notre situation familiale, c’est bien de pouvoir se passer des transports en commun même si c’est plus écolo (la voiture est hybride, je sais que ça ne règle pas tous les soucis ^^). Après, c’est pas pour ça qu’on va plus utiliser nos vélos et aller partout en voiture vu le bordel que ça peut être pour circuler et le prix des parkings ! On s’est fait un petit resto de kaiseki comme première sortie motorisée, pour fêter la fin de l’année scolaire de Messire.
Je ne sais pas si c’est l’effet des hormones de grossesse sur mon cerveau qui intensifie ce qui était déjà dernièrement un peu une obsession, mais en mars j’ai encore passé la plupart de mon temps à préparer à manger et du coup le rangement et le ménage « non quotidien » dans la maison ça n’a toujours pas avancé des masses. J’ai juste pris le temps de relaver les housses du canapé, même si ça se voit de moins en moins quand je le fais car il y a de plus en plus de tâches qui ne partent pas (concours entre Messire et les chats !). Au cours du mois, on est tombé à court de stock de pas mal de produits alimentaires que j’achète en gros, il y a donc eu pas mal de grosses livraisons et le budget bouffe a été plus élevé que d’habitude mais on a de nouveau quoi tenir un siège :D. J’ai reçu aussi un stock de produits pour le nettoyage et j’ai préparé une version améliorée de ma poudre pour le lave-vaisselle, très satisfaite car ça brille plus et la poudre s’agglomère moins.
Il y a aussi eu de l’investissement dans du nouvel équipement de cuisine ! Après un filtre pour préparer mon lait d’avoine correctement, j’ai pris un goupillon en silicone pour pouvoir nettoyer la bouteille à lait correctement. L’inconvénient de mon lait d’avoine maison, c’est qu’il se conserve peu de temps, donc si en plus la bouteille est pas bien propre ça aide pas ! J’ai repris l’habitude d’en faire régulièrement pour consommer un peu moins de lait d’amande en brique. Je me suis aussi enfin décidée à acheter deux nouvelles poêles en tôle d’acier, une petite et une crêpière. Et j’ai tellement bien fait, les premières crêpes faites avec étaient super réussies alors que je ne faisais jamais rien de correct avec mon ancienne crêpière. J’ai aussi racheté quelques bocaux pour en avoir enfin assez de grands pour stocker les légumineuses et autres graines. Et c’est particulièrement le moment de faire attention car avec le printemps les mites alimentaires sont réapparues. Ca va faire la troisième année qu’on se les coltine, là il y en a beaucoup moins et surtout vu que j’ai nettoyé tous les endroits où il y avait de la nourriture et reconditionné toutes leurs proies préférées, je pensent qu’elles n’ont pas de nouveau infesté les réserves alimentaires et qu’elles avaient plutôt fait des oeufs dans d’autres endroits de la maison inaccessibles. Dès que j’en vois une je la lâche pas avant de l’avoir écrabouillée, je suis plus douée que c’est grosses feignasses de chatons qui s’excitent mais sont même pas capables d’en choper une !
En mars, c’était la fête des agrumes dans nos assiettes ! On a reçu 10kg de succulentes oranges non traitées de Wakayama, et j’ai aussi repris des citrons de Setouchi, non traités également car le but est dans les deux cas de pouvoir aussi utiliser le zest. La saison des mikan se termine, mais on profite toujours des pommes et des fraises. Avec le printemps, il y a de nouveau plus de légumes feuille : roquette, épinards à salade, feuilles de wasabi, et même des blettes trouvées chez un petit producteur de ma ville !
Côté cuisine japonaise, il y a eu les presque habituelles deux tournées de nattô. Pour la première fois depuis très longtemps, j’ai refait du unohana, plat à base d’okara (peaux de haricots de soja résidus de la fabrication du tofu, ça coûte trois fois rien chez le marchand de tofu !). J’ai aussi fait une super recette de riz aux noix de pétoncle et au gingembre, super bon et pas idéal pour limiter sa ration de riz blanc (surtout que j’en ai acheté du super bon d’Akita, du même producteur où je prenais déjà le riz complet). Il y a encore eu des soupes miso variées, et pour la première fois depuis longtemps l’autochtone a refait ses onigiri grillés et des okonomiyaki, aux huîtres et au nattô.
Je peux carrément faire un petit paragraphe cuisine coréenne ce mois-ci, car j’ai refait la super soupe épicée au kimchi et au tofu, décidément tellement bonne. J’ai aussi refait des toppoki au fromage, et on a mangé un gros morceau de tofu surmonté de kimchi assaisonné. Il faudra que je refasse bientôt des chijimi, le premier plat de cuisine coréenne que j’avais tenté, et aussi que j’essaie de faire un japchae, même sans viande je pense que c’est très bon si on réussit l’assaisonnement.
Dans la catégorie cuisine aux inspirations diverses, j’ai tenté une recette de steaks de haricots rouges à la farine de sarrasin tellement chouette que je l’ai déjà refaite. Ca faisait des semaines que Messire me réclamait une tarte à la tomate et que j’en avais aussi super envie, comme c’est pas encore la saison j’ai utilisé des tomates cerise pour que ça ait plus de goût (c’est très dur de pas consommer de tomates cerise l’hiver surtout cette année où j’en ai encore plus envie, et c’est toujours tellement pratique pour finaliser un bentô !). J’ai refait du délicieux riz thai au lait de coco, citron et coriandre avec du tempeh mariné dans une sauce cacahuète et rôti au four. Et puis comme j’ai pu enfin avoir du saté chinois en poudre, j’ai retenté une recette pas du tout typique mais super nostalgique pour moi en la végétalisant : viande hachée de soja avec courgettes, oignon et lait de coco, et plein de saté. J’adore tellement le goût de ce condiment, juste épicé comme il faut !
Avec les premières asperges japonaises de la saison, j’ai fait un risotto au riz complet. Avec les pois cassés du dernier colis de France, j’ai fait une purée qu’on a mangé avec du tofu fumé, un petit goût parfait pour remplacer une saucisse puisque de toute façon même si j’en mangeais ça me coûterait un bras d’en trouver des bonnes. Pour finir, une tournée d’houmous et plusieurs soupes et salades pour un max de légumes !
Au mois de mars encore, les porridges en tous genres ont eu une bonne place sur la table du petit déjeuner : porridge d’amarante avec pommes poêlées, porridge de sarrasin, et encore le porridge de lentilles corail qui est super bon quand on le parfume au cacao. Du côté des porridges d’avoine, j’ai improvisé deux recettes que j’ai notées pour une fois car j’étais vraiment contente du résultat. Une était à la noix de coco, noisette et fève tonka. J’adore de plus en plus la fève tonka, ça a vraiment un petit goût unique et même si c’est différent de la vanille j’en utilise souvent en remplacement vu que la vanille coûte de plus en plus cher. Pour les petits déjeuners plus gourmands, j’ai fait de nouveau du pain perdu, une fois fraise pistache et une fois chocolat, noix de coco et bananes poêlées. Enfin, j’ai refait deux tournées de granola, un plutôt improvisé à la noix de caroube qui était pas trop mal, et un autre que j’avais déjà fait au gingembre et noix de cajou.
J’ai refait une tournée de tahini et de beurre d’amande, et j’ai aussi essayé le beurre de graines de citrouille, franchement sympa comme résultat. Je profite à fond des pommes car la saison se terminera encore bien trop tôt et après il faudra attendre fin août pour en avoir de nouveau à un prix assez raisonnable pour pouvoir en acheter en gros. J’ai tenté de faire une conserve de compote, j’espère que j’aurai le temps d’en refaire quelques unes et que ça va bien se conserver juste d’ici l’été. On a gardé le zeste de quasiment toutes nos super oranges, j’ai fait séché tout ça au fur et à mesure au four et j’ai tout réduit en poudre avec le blender. J’ai maintenant un bon pot de poudre d’écorces d’orange pour parfumer plein de préparations, à commencer par les porridges et les boissons chaudes ! Messire, presseur de fruits professionnel a bien sûr réclamé du jus ce mois-ci : on a refait notre classique pomme carotte gingembre, et aussi un pomme ananas fraise franchement sympa. Je fais sécher la pulpe au four et je la découpe ensuite en petites bandes, Messire aime beaucoup ça et du coup on a quand même toutes les fibres des fruits (et moins de déchets !).
Oh là là, mais y’a encore plein de choses du côté des goûters ! Un pain à l’avoine et au miel, des cookies avoine, pistache cardamome absolument déments, un gâteau de polenta et poudre d’amande au citron qui se tenait pas bien mais top au goût, des cookies à la purée d’amande et aux myrtilles. Et puis les fameuses crêpes avec la nouvelle poêle, qu’on a dégusté avec du banana curd. Je suis trop fan du curd, j’ai envie d’essayer avec plein de fruits différents ! Dernière petite fierté de ce mois si productif : les crumpets. Assez long à cuire, mais ça vaut tellement le coup ! En avril, c’est certain, je tente les bagels !
Messire a pu passer ses trois dernières semaines de yochien à peu près tranquillement, si on passe le fait que les éducatrices ont bien déconné à encore emmener les gamins faire du vélo dans le parc où on peut en emprunter tout en sachant qu’à cause du corona, le parc ne fournissait plus de casques. Apparemment, c’était trop compliqué de prévenir la veille pour qu’on puisse amener le casque de Messire, et on était les seuls parents à être gênés à l’idée que notre gamin fasse du vélo sans casque. Les excuses ? Oh mais on fait attention ! Et encore mieux : ils ont leur chapeau ! J’ai laissé l’autochtone discuter de ça lui-même car je savais que j’allais perdre patience et passer pour l’étrangère qui ne comprend pas la « culture » locale (quand c’est une question de sécurité la culture je l’emmerde, quel que soit le pays !). Donc ils n’y sont pas retournés jusqu’aux vacances, mais à tous les coups ils remettront ça à la rentrée alors que bien sûr, il n’y aura toujours pas de casques dispos dans ce fichu parc…
Les douze derniers jours du mois, c’était donc les vacances, et même si je ne peux cette fois pas encore prétendre qu’on serait sortis tous les jours dans les quatre coins de la ville en temps normal, là bien sûr il en était encore moins question. Donc heureusement que l’autochtone est toujours en télétravail et a pu prendre du temps dans la semaine vu qu’il est plus doué que moi pour les sorties au parc. A ce propos, le dernier jour de yochien, pour une fois on est allé avec tout le monde au parc pour que Messire joue une dernière fois avec ses trois copains qui vont aller à l’école primaire. Il voulait pas rentrer, j’avais faim j’étais crevée et les nerfs à fleur de peau à cause des hormones, question souvenir de grossesse ça vaut presque le fameux passage au magasin de bricolage y’a cinq ans et demi !
Il a donc fallu occuper Messire à la maison en limitant le temps d’écran. Il a beaucoup dessiné, a encore passé un sacré bout de temps à lire tous ses livres de trains et autres moyens de transport empruntés à la bibliothèque, ressorti ses Lego et même les Playmobil. Il a des gestes de plus en plus précis pour le découpage ou les pliages en papier. J’ai essayé de le faire participer en cuisine, où là aussi il maîtrise de mieux en mieux son couteau. Et puis aussi pour des tâches comme plier et ranger ses vêtements propres. Même si ce n’est pas un jeu, c’est une activité ensemble, et j’y tiens d’autant plus que c’est un garçon. Presque tous les soirs, on a fait une ou deux parties de cartes tous les trois.
Malgré l’insistance d’Amazon, j’ai résilié mon abonnement Prime fin février et en mars, j’ai donc pris un abonnement à Netflix, au départ plus dans l’optique d’accéder à l’offre française avec mon VPN pour que Messire entende plus de français. J’ai vite déchanté car je trouve leur offre pour enfants très nulle. Ils n’ont rien de ce que Messire connait déjà de près ou de loin, leurs productions ont l’air toutes du même style graphique assez moche. Il faudra donc se contenter de Youtube et du replay TF1 pour l’instant pour des séries enfant en français ! Dans ces conditions, ça sera clairement pas rentable d’avoir un abo Netflix sur le long terme mais on va essayer d’en profiter quelques mois. On a commencé Shinya Shokudo/Tokyo Stories, la principale production de la plateforme qui m’intéresse. Ca fait plaisir de retrouver l’univers de la série, et vu que ça fait plus d’un an que j’ai pas fichu les pieds à Shinjuku c’est même dépaysant :D. Comme Mahoro ekimae bangaichi est aussi dispo sur la plateforme, on a continué à le regarder là, et on l’a terminé. Contrairement à Prime, il y a des sous-titres en japonais pour les productions japonaises donc ça, au moins, c’est top. On a continué de suivre Ore no ie no hanashi et on l’a terminé le lendemain de la diffusion du dernier épisode. La fin est assez surprenante, s’il y a plein d’élements kudoesques c’est encore assez différent donc c’est dur de comparer avec les autres séries du scénariste mais en tout cas j’ai vraiment apprécié de suivre ce drama pendant sa diffusion. Et vu le programme du printemps, je crois qu’on va de nouveau suivre au moins un nouveau drama en cours de diffusion !
J’ai pas mal avancé Umechan sensei pendant les trois premières semaines de mars et j’ai maintenant vu une cinquantaine d’épisodes, donc un tiers de la série. Une fois Messire en vacances, j’ai dû mettre la série en pause car vu qu’il regardait déjà assez de trucs de son côté j’allais pas encore lui ajouter du temps d’écran (et quand il sortait avec son père, je me suis plutôt remise en mode sieste :D). Je suis toujours aussi laborieusement Ochoyan, même maintenant qu’on est débarrassé du personnage qui gâchait le plus l’histoire ça ne prend décidément pas et vu qu’on a dépassé les deux tiers de la série je n’en attends vraiment plus rien. Nos deux taiga avancent toujours doucement mais sûrement, on a dépassé la moitié d’Atsuhime et on en est tout près pour Ryômaden. Dans les deux cas, il y a eu des moments vraiment intenses. Je ne suis de nouveau plus vraiment d’humeur pour les longs métrages, mais je dois dire que ça m’inquiète moins que de ne déjà plus être d’humeur à lire la plupart des soirs !
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