Bla bla musique 4 : Ma collection de CD japonais ne cesse de s’agrandir…

Et ça, c’est principalement de la faute à Book Off, évidemment ! Entre octobre et mai dernier, j’y suis allée régulièrement, la plupart du temps le samedi lorsque je restais à Paris pour le week end. Evidemment, je n’ai pas été raisonnable du tout, tellement que j’avais fini entièrement ma carte de fidélité et que j’ai eu le droit aux 12 euros de réduc à la fin mai…

Bon, qu’est-ce que j’ai acheté ? Du Spitz évidemment, car mon but est bien d’avoir tous leurs albums. Il me manquait tous ceux avant Hachimitsu, et maintenant il m’en manque plus beaucoup. Surtout que plus c’est vieux, moins c’est cher ! J’ai donc craqué pour Crispy!, Namae wo tsukete yaru et Sora no tobikata. Et puis récemment, l’album hommage Sweets for my Spitz qui était à 20€ a été baissé donc je me suis laissé tenter, car les reprises de Kojima Mayumi et Shiina Ringo valent vraiment le coup d’avoir le disque.

Bon, tout ça c’est pas bien méchant. Mais il y a bien pire. Vraiment super pire, quelque chose de très vilain : j’ai commencé la collection des singles de Spitz. En essayant de me déculpabiliser en disant que je prenais les récents (ceux de Souvenir et Sazanami CD, car j’ai pas vu les tous derniers) parce que les faces B avaient pas encore été regroupées dans une compil. Ce qui sera fait bientôt j’espère, et qui donnera un disque génial, car piiiitain, des chansons comme Yuuyake sont juste énormes. Et pour la peine, je la mets, ça fera un peu de distraction, même si on s’en fout des images.

Avec le bol que j’ai avec tout ce qui est CD et DVD, à tous les coups quand j’aurais à peu près la moitié des singles, ils vont annoncer la sortie d’un coffret… Mais merde, y’a des jolies boîtes en carton, et c’est que 2 euros quoi ! ^^

Y’a toujours peu d’albums de YUKI chez Book Off, et là j’ai réussi à trouver Wave, même si c’est pas celui que je cherchais en priorité j’ai dû le prendre vu qu’il était à un prix raisonnable. Et comme je ne sais pas me contenter de la très belle édition limitée du best of Every single day de Bonnie Pink que j’avais choppé avant les fêtes et que je me suis mise en tête de mettre tous ses albums sur mon étagère, j’ai ajouté à ma collection Golden Tears. A part les best of plus vieux (les deux Bonnie’s Kitchen), il n’y avait malheureusement (ou heureusement pour mon compte en banque) pas grand chose.

Ensuite, depuis le temps que je devais acheter l’album Scratch de Kimura Kaela que j’ai énormément écouté, je l’ai fait, et hop on n’en parle plus. Enfin, si, il faudrait que je parle d’elle, quand j’aurais mieux exploré ses deux premiers disques. Je suis aussi tombée sur Hatachi no koi de Kojima Mayumi à 7 euros. C’est pour bibi !

Et pour finir, ça faisait plusieurs mois que Birthday, le dernier album de Suneohair, me faisait de l’oeil. Mais il était cher. Alors j’attendais qu’il baisse. Mais il ne baissait pas. Alors j’ai fini par le prendre. J’étais persuadée que c’était l’édition limitée, mais en fait non. Et ça forcément je m’en suis aperçue après…

Bon, et même si j’ai plus ou moins renoncé à acheter chez CDJapan à cause des frais de douanes, il faut bien de temps en temps que j’achète du neuf. Pour les éditions limitées quoi. Donc je suis allée voir chez Yes Asia, et ils avaient deux éditions limitées qui n’étaient plus dispo chez CDJapan : le dernier YUI, Holidays in the sun, et le dernier Bonnie Pink, Dear Diary, dont le deuxième disque est une compil de faces B, donc c’est génial.

Voilà donc l’étendue de mes déboires, et ça n’est pas fini car il faudra que je raconte mes visites au Book Off de New York ! ^^

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