Hello another way

shorinzan darumaji

Lundi dernier après les cours, j’ai vu quelqu’un que je n’avais pas vu depuis bien longtemps, et que je pensais même peut-être ne jamais revoir : un de mes anciens collègues espagnols rencontré au Québec, de son surnom Capullo, celui-là même qui m’a donné le surnom de Katzina. Alors, c’est pas rien ! Monsieur revenait d’un périple de 7 mois en Asie – Thaïlande, Indonésie, Philippines et surtout Malaisie, et après avoir fait un crochet par Dubai rentrait à Valencia en passant par Paris. Ah mais oui, en partant, il était passé par l’Allemagne aussi ! Vous voyez un peu le genre quoi.

C’est une des personnes que j’ai le mieux connues et le plus appréciées lors de mes 18 mois passés au Québec, alors j’étais vraiment contente qu’on ait pu se voir. Bien sûr, il avait plein de choses à dire sur son voyage, mais aussi sur notre ancienne boîte, qu’il a quittée plus d’un an après mois. J’ai bien apprécié d’avoir de nouveau une vraie conversation en anglais, et je crois bien qu’en une soirée j’ai plus parlé anglais que pendant mes deux mois à Londres cet été. Lui au moins, je comprends quand il parle ! ^^ Ah c’est bien loin toutes ces soirées passées avec toute notre petite bande, chez lui ou chez moi. Barbecue d’été ou longues soirées d’hiver avec des jeux de cartes. Sushi, poulpe (que j’ai jamais osé goûter !) ou soirée cheese & wine…

Je ne voudrais pas prétendre que bosser dans une entreprise française avec que des français ce n’est pas bien, je ne l’ai jamais fait, et énormément de gens le font et doivent apprécier. Mais c’est quand même quelque chose, les gens qu’on rencontre en travaillant à l’étranger, qu’ils soient eux-mêmes étrangers, comme la plupart de ceux que j’ai rencontrés au Québec, ou français, comme la plupart de ceux que j’ai rencontrés à Londres. Gros coup de nostalgie pour ce temps-là, heureusement que j’ai pu aller bosser un peu cet été parce que décidément, comme je l’ai déjà dit, je suis bien mieux en entreprise qu’à la fac.

Mais bon, c’est bien moi qui ai décidé de rempiler pour trois ans et j’espère toujours pouvoir aller jusqu’au bout ! Après, je pense avoir un moyen pour que l’université me convienne mieux : si ce n’est pas possible de partir dans une université japonaise, je tenterais bien un petit Erasmus. VU que je ne suis pas partie pendant mon cursus LEA, ce serait une bonne occasion, même si ça peut paraître bizarre de suivre une formation de japonais dans un autre pays que le Japon. Et dans ce cas, même si ce serait très tentant de retourner à Londres, ou du moins en Grande-Bretagne, je choisirais plutôt l’Allemagne, et plus précisément Berlin, histoire de continuer ma tournée des capitales européennes :p. Reste à savoir si ce sera possible et surtout si je me motiverai pour m’éloigner un peu de mon cher chez-moi !

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