Une dernière petite découverte japonaise avant de repasser à autre chose la semaine prochaine ! On franchit encore un pas du côté de la musique ambiante et instrumentale avec cet artiste, et ne m’accusez pas de faire des fautes car contrairement à ce que son nom et les voix féminines présentes sur certains de ses morceaux laissent penser, Haruka Nakamura est apparemment un homme. Et je me permets contrairement à mes habitudes d’écrire son prénom avant son nom car c’est ainsi qu’il est écrit sur ses disques.
En fait, j’ai été attirée par les images de paysages urbains au soleil couchant qui ornent les pochettes de ses deux albums, et sa musique donne exactement l’impression d’être à ce moment particulier qu’est le crépuscule. C’est vraiment joli, et très reposant.
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