Titre japonais : ハチミツとクローバー
Nombre d’épisodes : Saison 1 : 24 ; Saison 2 : 12 ; 2 épisodes spéciaux (L et F)
Année de production : 2005-2006
Licence en France : Kaze (mais la série n’est plus disponible en ligne)
Fiche : Animeka ; ANN
Voir aussi : Honey and Clover (manga) et Hachimitsu to clover (drama)
Introduction : la série, sa (non) sortie en DVD et moi
S’il y a un anime qui tient une place particulière pour moi, c’est très certainement Honey and Clover. C’est une des premières séries dont j’ai parlé sur ce blog, et j’avais eu un véritable coup de cœur. Tout ça, c’était début 2007.
Je ne sais plus quand exactement, peut-être la même année, peut-être la suivante, des rumeurs de licence en France ont commencé à circuler. On l’attribuait à Kana, certainement parce que l’éditeur avait les droits du manga original, dont la publication française a commencé en mars 2007. Mais en fait c’était pas ça du tout. Viz Media, qui fait partie du groupe Shogakukan, avait les droits au niveau européen, mais apparemment aucun éditeur n’avait prévu de sortir l’anime en France. Il a donc fallu attendre que Kaze soit racheté par Shogakukan pour que les choses s’éclaircissent et que la licence de l’anime soit clairement annoncée par l’éditeur. Et là, on est déjà en août/septembre 2009. Enfin, après plus de deux ans d’attente, les DVD allaient sortir, et je pourrais enfin les acheter et revoir la série !
Il faut que je précise qu’entre temps, il s’est passé des choses : comme j’avais gardé un super souvenir de l’OST de la série, j’ai fait l’acquisition de l’édition limitée de Honey & Clover Complete Best, qui regroupe les morceaux instrumentaux et les chansons des openings et endings des deux saisons de l’anime. Et puis j’ai découvert la musique de Spitz, dont de nombreuses chansons sont utilisées dans la série comme insert songs. J’ai aussi vu l’adaptation drama faite en 2008, qui ne m’avait pas complètement convaincue. Et évidemment, j’ai lu le manga d’Umino Chica. Tout ça m’a donné encore plus envie de revoir l’anime, et j’en pouvais plus d’attendre.
Mais vers la fin de l’année dernière, malgré les démarches de certains fans, il est devenu évident que la série ne sortira jamais en DVD. Il faut se contenter de la regarder en streaming sur le site Kzplay. Enfin, la première saison du moins, car deux ans après, les 12 épisodes de la deuxième saison ne sont toujours pas disponibles… La série a très certainement été encore une fois sacrifiée en raison de l’arrivée de nombreux anime jugés plus importants en streaming.
J’ai donc fini par me tourner vers l’import, et comme les DVD japonais sont vraiment coûteux (et qu’accessoirement ils n’ont pas de sous-titres), j’ai opté pour les DVD américains, édités par Viz Media évidemment. Mais j’ai quand même hésité. Peut-être parce que j’espérai encore par miracle l’annonce de DVD français. Et parce que c’est un peu débile d’acheter des anime japonais chez les ricains.
Mais aussi parce que dans le fond, après tout le temps qui s’était passé depuis mon visionnage de la série, je me demandais si j’allais encore aimer. Ne m’étais-je pas moi-même créé une légende autour de cette version animée au destin un peu maudit pour son édition française ? Est-ce que je n’allais pas trouver ça niais et chiant, comme pas mal de personnes ?
Non, en fait, pas du tout. Je m’en suis rendu compte dès les premières minutes du premier épisode. J’ai regardé l’intégralité de l’anime lors de mes trajets en train entre Rouen et Paris en août et septembre dernier, et je dois dire que l’idée de prendre mon petit dèj devant un épisode était d’une grande aide pour me motiver à me lever à 5h45. Après ce petit moment de bonheur, je pouvais faire une bonne sieste ^^.
Tout le long de mon visionnage, je me suis demandé : quels sont les éléments que je pourrais noter et utiliser comme arguments quand je ferai un billet sur la série ? Qu’est-ce que je pourrais dire pour donner envie de la regarder à ceux qui pensent que ce n’est qu’un shôjo avec une gamine où il se passe rien ?
Ce n’est peut-être qu’un tas d’excuses pour cacher mon manque de facultés d’argumentation et d’analyse, mais j’en suis venue à la conclusion que – possible ou pas – ce n’était pas en tout cas ce que je voulais faire. Toutes les histoires, quel que soit leur support, ont des qualités objectives. Mais il y a aussi une grande part de subjectivité, et c’est particulièrement le cas pour celles du type de Honey and Clover, qui jouent sur les émotions, et pas sur l’action, l’aventure et le suspense.
Et ça me semble tellement évident à moi que cette œuvre est extrêmement touchante et qu’on doit forcément se retrouver dans un des personnages à un moment ou à un autre, que dans le fond j’aurais envie de dire : mais si vous n’aimez pas c’est que vous n’êtes qu’une bande de crétins insensibles qui n’ont rien compris à la vie ! Mais évidemment, ça ne marche pas comme ça. Chacun a une sensibilité différente et peut voir des choses différentes dans une œuvre, ou ne rien y voir du tout justement.
Tout ça pour en venir à la conclusion que comme d’habitude, je me contenterai de dire sans trop spoiler pourquoi cette série m’a tant touchée, certainement encore plus que lors de mon premier visionnage, et pourquoi je sais que je la reverrai à nouveau. Y’avait peut-être pas besoin de tant blablater pour arriver à une conclusion qui n’en est pas vraiment une, me direz-vous. Mais je tiens toujours à bien poser le contexte des choses. Ca me donne l’illusion que mes billets sont bien construits :p
Histoire et personnages
Honey and Clover raconte le quotidien de cinq étudiants d’une université d’art, trois garçons et deux filles, ainsi que des personnes qui les entourent. L’histoire, qui se déroule sur plusieurs années, est présentée principalement du point de vue de Takemoto.
Takemoto est un jeune homme comme tous les autres, il a peut-être un passé un peu plus douloureux que la moyenne étant donné qu’il a perdu son père tout jeune, mais cela ne fait pas de lui un cas social. Il ne sait pas trop quoi faire de sa vie, et semble avoir choisi son orientation universitaire un peu par élimination. C’est certainement sur ce point qu’on peut facilement s’identifier à lui.
J’ai adoré la façon dont Takemoto va trouver sa voie, à laquelle plusieurs épisodes sont consacrés et qui est liéé à un symbole récurrent de l’oeuvre : la roue qui tourne. Celle du vélo de Takemoto, mais aussi les grandes roues qui apparaissent à plusieurs reprises, ainsi que de la girouette qui tourne au vent, que l’on aperçoit si souvent entre deux scènes. Ces thématiques sont aussi largement reprises dans les différents génériques.
Au début de l’histoire, Takemoto commence sa deuxième année. Depuis sa première année, il vit dans une vieille résidence avec Morita et Mayama, étudiants de la même université plus âgés que lui. On peut dire que tout commence le jour où Hagumi arrive à l’université. Takemoto va avoir le coup de foudre pour elle, et sa présence va changer le cours de ses années d’étudiant.
Hagumi est toute petite, et on la prendrait plus facilement pour une collégienne que pour une étudiante de première année. Cette apparence peut paraître étrange, et contraste avec les personnages féminins habituels, mais le physique particulier de Hagumi est un peu le reflet de sa personnalité, elle aussi particulière. Si au début on croit qu’elle a juste des réactions de gamine trop protégée, on se rend vite compte qu’elle vit dans un monde un peu à part, et qu’elle a des difficultés à communiquer avec les gens « normaux » à cause de sa sensibilité artistique hors du commun.
C’est cette sensibilité qui va être à l’origine de sa relation particulière avec Morita, un garçon qui semble doué pour tout mais qui ne cesse de redoubler sa dernière année parce qu’il est toujours trop occupé pour rendre son œuvre de fin d’année dans les délais. C’est la plupart du temps un véritable pitre doublé d’un goinfre qui ne s’arrête jamais. Il ne cesse de trouver de nouvelles idées pour taquiner Hagu, et le pauvre Takemoto est lui aussi souvent victime de ses tours. Tout ça, c’est quand Morita n’a pas disparu du jour au lendemain pour accomplir une de ses mystérieuses missions, dont il rentre toujours exténué. Le but ultime de ces missions s’avère en fait très sérieux, et Morita n’est pas le seul à être embarqué dans l’affaire. Et puis dans les rares moments où il se montre sérieux en présence de ses amis, on se rend compte qu’il semble bien comprendre Ayumi et qu’il sait se montrer prévenant.
Ayumi est une étudiante en poterie qui est jolie, a de belles jambes et est très populaire parmi les garçons de son quartier. Accessoirement, elle a un penchant assez prononcé pour l’alcool (ses parents tiennent une boutique de saké) et n’hésite pas à tataner Morita et Mayama. Pour le premier, on devine facilement pourquoi. Pour le deuxième, c’est parce que c’est l’idiot dont elle est amoureuse. Le voilà, le fameux amour à sens unique. Et le triangle amoureux, du même coup. Ayumi sait que Mayama en aime une autre et qu’elle n’a aucune chance. Donc Ayumi pleure beaucoup. Mais son cheminement est si crédible et si judicieusement décrit ! Elle en vient à se rendre compte qu’elle se complait dans cette situation, qu’elle a peur que les choses changent parce qu’elle sait dans le fond qu’elle finira par oublier Mayama, même si ça lui paraît impossible tellement elle souffre. Le personnage de Nomiya, qu’elle va connaître justement par l’intermédiaire de Mayama. va jouer un rôle important auprès d’elle.
Le Mayama en question est un étudiant qui contrairement à son camarade Morita est sérieux, et contrairement à Takemoto sait ce qu’il veut faire à la fin de ses études. Vu qu’il est en dernière année au début de la série, on le voit d’ailleurs débuter dans le monde professionnel. Bien qu’il ne puisse répondre aux sentiments de Yamada, il ne peut s’empêcher d’interférer quand d’autres garçons lui tournent autour, son argument étant qu’elle est un peu trop naïve et qu’ils pourraient lui faire du mal. Alors que c’est évidemment lui qui la blesse le plus, à montrer tant de sollicitude. Il va attendre patiemment que Rika, celle qu’il aime, ait soigné ses blessures et le considère comme un homme.
Rika est architecte, Mayama a commencé à travailler pour son cabinet alors qu’il était encore à l’université. Elle est froide et distante, et au début on peut avoir du mal à l’apprécier si on sympathise avec Ayumi. Mais quand on apprend à mieux connaître le personnage à travers les récits de Hanamoto qui était à l’université avec elle, et quand on sait quel terrible événement elle a vécu, on la comprend mieux, et comme Mayama on a envie de lui dire d’arrêter de s’interdire d’être heureuse.
Hanamoto est le personnage qui relie tout ce petit monde : il est prof à l’université, et a une relation privilégiée avec le petit groupe d’étudiants. Il est de la famille éloignée de Hagu et la connaît depuis toute petite. Il la comprend mieux que quiconque, et c’est lui qui l’a fait venir à Tôkyô pour ses études. Elle habite d’ailleurs chez lui. En fin de compte, c’est un peu un grand frère pour tous, mais lui aussi a évidemment son histoire.
S’il y a donc des moments sérieux et remplis d’émotions, la série possède aussi de nombreux moments plus légers, voire même carrément déjantés, qui viennent ponctuer à petite dose son rythme tranquille du quotidien. Combiné avec son aspect visuel et sa bande sonore, cela rend son ambiance vraiment unique.
Que ce soit les lubies de Morita, la cuisine déplorable de Hagu et Ayu (on sort du cliché de la gentille fille qui cuisine bien ^^), le chien très expressif de Miwako (une collègue de Mayama), ou la façon dont Hanamoto se fait charier à cause de son âge, les moments comiques sont nombreux et sont toujours bien dosés. Allez, histoire de ne pas dire que du bien, je n’ai pas trop accroché au délire des frères Fujiwara. Une minute en tout sur 38 épisodes… je pense que ça peut aller !
Musiques et réalisation
Je me souviens que j’ai tout de suite accroché au design des personnages. Si l’on voit bien à leurs traits que le manga original s’adresse majoritairement à un public féminin (mais il s’agit d’un josei, pas un shôjo), les personnages masculins n’ont pas des yeux de biche et un menton pointu ^^. La différence d’âge des personnages entre le début et la fin de l’histoire est bien montrée, surtout pour Takemoto et Hagu. Les tons pastels utilisés pour l’ensemble des dessins collent parfaitement à l’ambiance un peu nostalgique qui se dégage de l’histoire.
Les deux openings (un pour chaque saison) sont chantés par YUKI et ce sont eux qui m’ont fait découvrir cette chanteuse. Les images de ces openings ont un côté très décalé qui annonce bien qu’on ne va pas avoir affaire à une romance à l’eau de rose ordinaire:). Le premier ending de la saison 1 ainsi que celui de la saison 2 sont signés Suneohair. Là encore, ces titres m’ont permis de découvrir de chanteur qui reste un de mes artistes japonais préférés.
Les musiques instrumentales utilisées dans les épisodes, signées Hayashi Yûzo, sont variées. Les plus enjouées ont un petit côté rétro et sans être inoubliables, collent bien aux scènes où on peut les entendre. Là où l’OST devient vraiment formidable, c’est d’abord sur les morceaux plus tristes et plus doux comme Yamanai ame ou Hajimari no yokan. Et puis il y a les formidables reprises au piano des quatre chansons des génériques, que je ne me lasse pas d’entendre et qui créent une atmosphère magnifique.
Et last but not least, la série comporte un grand nombre d’insert songs. Il y en a déjà 14 pour les 24 épisodes de la première saison, et leur utilisation est systématique pour la saison 2 pusqu’il y en a autant que d’épisodes. Elles son utilisées pour les scènes clés ou dans des sortes de diaporamas et constituent donc à chaque fois un moment particulier dans un épisode.
La moitié des ces chansons est de Suga Shikao, et l’autre moitié de Spitz. Oui, Spitz, mon groupe japonais préféré et peut-être mon groupe préféré tout court ^^. Mais étrangement, c’est pas mal de temps après avoir vu pour la première fois Honey and clover que j’ai commencé à les écouter. Je me demande encore pourquoi aujourd’hui, vu que certaines des chansons utilisées sont parmi mes préférées (Yoru wo kakeru, Sakana, Spica, Je t’aime…). En fait, je pense que je m’étais naturellement focalisée sur les dialogues et les images, mais que la musique m’avait quand même marquée même si c’est inconsciemment, étant donné qu’elle colle vraiment bien, comme j’ai pu m’en rendre compte lors de ce revisionnage.
Et si elle colle vraiment bien, c’est tout simplement parce que Suga Shikao et Spitz sont deux des artistes préférés d’Umino Chica. D’ailleurs, le titre original du manga, hachimitsu to clover est la combinaison du titre d’un album de Spitz (Hachimitsu, qui est aussi le titre d’une chanson du même disque utilisée comme insert song dans le tout premier épisode) et du premier album de Suga Shikao, qui vous l’avez deviné s’appelle Clover (deux titres de l’album, Tsuki to knife et Ougon no tsuki, sont utilisés comme insert songs). Mais au-delà de cette origine, le titre de l’oeuvre prend son sens dans l’histoire même, tout à la fin. Superbe, évidemment.
Umino Chica devait écouter ces chansons en dessinant ses planches, c’est pour ça que l’ambiance colle si bien, et je trouve ça vraiment génial qu’elles aient été utilisées dans l’anime. Cela montre à quelle point il est une adaptation aboutie du manga original. On a si souvent le droit à des adaptations partielles, juste pour faire de la pub au manga, qu’on ne peut que se réjouir d’une adaptation totale si bien réalisée.
Je reste sur le côté sonore pour évoquer un peu les voix : je les ai trouvées bien choisies, en particulier celle de Hagumi, qui a un côté très doux et enfantin, mais tout en étant très naturelle. Les différents personnages, en particulier Takemoto, prennent régulièrement la parole en « voix off » pour nous confier leurs doutes, leurs questions, leurs peurs ou leurs espoirs. Ce mode de narration est très judicieusement utilisé : on n’a pas des discours interminables, mais des mots essentiels qui ne pourraient avoir leur place dans un dialogue classique.
Enfin, puisque je ne suis pas à ça près, je ne peux pas m’empêcher d’évoquer la forte impression que m’ont laissés certains lieux vus dans l’anime lors de mon revisionnage, deux en particulier : Yokohama et Chicago. Lorsque j’ai été à Yokohama l’année dernière, j’ai été émerveillée devant la Cosmo Clock et j’ai pensé à Honey and Clover. Et en revoyant Honey and Clover un an après, j’ai eu un peu l’impression de retourner là-bas. Pour Chicago, on y voit l’un des personnages lors de la deuxième saison. Je me souvenais vaguement qu’on voyait une ville américaine, mais plus précisément laquelle, et c’est justement celle que j’ai visitée en juillet dernier !
En conclusion
Outre toutes les considérations personnelles que je peux avoir, Honey and clover est clairement une grande série qui ne mérite très certainement pas le triste sort qui lui a été réservé pour sa distribution francophone, et même si elle a déjà quelques années il ne faut surtout pas l’oublier.
C’est une œuvre incontestablement riche par la variété de ses personnages et des thèmes qui sont abordés à travers eux, qui couvrent tous les types de relations humaines et une large palette de sentiments. L’important, ce n’est pas si tel ou tel personnage va sortir avec tel ou tel autre, ce sont ce qu’ils éprouvent à ces moments de leur vie, et surtout de quelle façon cela va les changer, quel souvenir ils vont en garder et quelle influence cela aura sur leur avenir. Et de ce point de vue, la question que se pose Takemoto à la toute fin de l’histoire est pleine de sens.
Même s’il ne s’agit pas de quatre ou cinq années d’université, on a probablement tous eu dans notre vie une période que l’on a passée avec des gens en particulier et dont on garde un souvenir spécial. On a tous des moments auxquels on ne reviendrait à aucun prix mais qui font ce qu’on est aujourd’hui. Regarder Honey and Clover me rappelle tout ça. Cela provoque une petite vague de nostalgie mais en même temps donne de l’espoir pour ce qui est à venir, à l’image de la fin, qui est en fait un début pour chacun des personnages. Et la roue continue de tourner.
Commentaires laissés sur l’ancienne version du blog
Merci.
Merci d’encore essayer de faire vivre cette série, qui n’aura décidément pas eu de chance.
Écrit par : Kabu | 04.12.2011
Egalement un grand merci !
Honey and Clover m’a marqué à tout jamais . A chaque nouvelle sortie chez KAZE , j’ai toujours le cœur qui saigne en pensant que ce formidable animé n’aura jamais sa chance . La série a pourtant un potentiel incroyable et peut toucher un large panel de spectateurs par ses thématiques.
Écrit par : Hikaru-san | 05.12.2011
Merci à tous les deux de votre soutien. J’espère que ce billet pourra attirer l’attention de quelques personnes, même si évidemment ça ne changera rien à la question de sa disponibilité en France…
Écrit par : Katzina | 08.12.2011
J’avais beaucoup apprécié H&C qui était touchant sans jamais pour autant en faire trop. Je me souviens de ces quelques moments magiques où on peut se surprendre à passer des larmes au rire de façon tout à fait naturelle. Comme tu le dis, son ambiance est unique.
Bref, bravo pour ce billet qui fait bien ressortir ton engouement pour la série (et ça se comprend !).
Écrit par : Vins | 10.12.2011
Passer des larmes au rire de façon tout à fait naturelle, ça résume très bien la série ! Je suis contente que tu aies apprécié ce billet, et merci d’avoir commenté :).
Écrit par : Katzina | 15.12.2011
On voit la passion qui t’anime concernant cet anime et cela fait vraiment plaisir à lire. Je n’ai rien d’autre à ajouter concernant Honey and Clover puisque tu as déjà tout dit, et cela d’une très jolie manière.
Écrit par : Kerydwen | 19.12.2011
Merci pour ces compliments, et merci encore pour ton billet sur le sujet ! 🙂
Écrit par : Katzina | 21.12.2011